Le 29 mai 1978, ils tuèrent Ali Soilihi, ils plongèrent le pays dans des incertitudes, ils freinèrent tout développement possible, ils émoussèrent tout espoir.


29 mai 2020
Le 29 mai 1978, ils tuèrent Ali Soilihi, ils plongèrent le pays dans des incertitudes, ils freinèrent tout développement possible, ils émoussèrent tout espoir.
Et subséquemment, ils continuèrent leur mésaventure et firent ou s'appliquèrent à faire de leur peuple un souffre-douleur tout en lui offrant de nuisibles présents: dysharmonie, disette, fange, disgrâce, injustices sont à répertorier. Hélas!
De la fin du Soilihisme à l'Azalisme déifié, la courbe devint de plus plus décroissante, nos espérances se dégarnissent, tels des cheveux sur le haut du crâne, des Politiques se succèdent et ces avatars distillent l'ennui et nous promettent un éternel état misérable.
Ces personnages, ces prophètes de la misère s'acharnent sur toute personne de bonne foi, ayant de l'empathie, soucieuse d'un lendemain meilleur, si dévouée pour son peuple.
Ils ne se sentent donc pas prêts à lâcher-prise parce qu'ils auraient "la prétention sous-jacente à tout contrôler" et se considéreraient ou se verraient en "Atlas portant le monde sur ses épaules."
Hadhrami, étudiant à Dakar

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